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Pourquoi ne faisons-nous pas ce que nous savons?

Nicholas Taleb Nassim dit

pour emmener un imbécile à la faillite, donne lui juste beaucoup d’information.

Le monde actuel est plein de données, surchargé d'information. Nous vivons juste une exécution par Google.

Je constate aujourd’hui que nous ne devons pas en savoir plus; mais nous avons besoin de mettre en œuvre, en pratique ce que nous savons et prendre conscience de ce que nous ne pouvons pas voir.

Telle est la valeur qu’un coach professionnel apporte. Il voit ce que le joueur ne peut pas voir.

Mon expérience directe dans mon travail avec les différentes personnes que j’accompagne est que leurs échecs passés (et actuel) n’est que rarement dus à un manque d'intelligence ou d’informations. L’exécution est inefficace tout simplement car la personne ne fais pas les choses qu’elle devrait ou sait qu’elle devrait faire. Elle est indécise, ne respecte pas ses engagements, ne suit pas l’objectif jusqu’à sa finalisation ou/et trouve ou s’invente des excuses l’empêchant d’atteindre l’objectif final (ceci étant le plus sournois des processus d’échec).

D’ailleurs, et vous l’avez peut-être suivi, pour préparer mon séminaire sur la santé de samedi prochain, j’ai mis en action les principes que je connais me permettant d’éliminer presque 5 kg en 21 jours (de 97.4 à 92.5). Simplement en appliquant.

Nous l’avons entendu des centaines de fois: notre perception crée notre réalité. La manière dont nous voyons notre vie et ce que nous croyons (sur nous, sur la vie, sur les autres, …) sont mêlés comme d’inséparables jumeaux. La question du verre à moitié plein ou à moitié vide est une vision imagée de la manière qu’ont certaines personnes de voir leur monde. 

Nous savons que les personnes optimistes vont dire que le verre est à moitié plein alors que les pessimistes disent qu’il est à moitié vide (aparté humoristique : le gestionnaire de projet, dira que le verre est deux fois plus grand que ce qu'il doit être, le réaliste dira que le verre contient la moitié de la quantité de liquide requis pour qu'il déborde).

Bien que je sois techniquement un optimiste, la vision du réaliste m’interpelle particulièrement.

Bonjour

J’ai une question pour vous:

Pourquoi il semble si facile de tomber dans de mauvaises habitudes, et si difficile de mettre en place de nouvelles (bonnes) habitudes.

Quand je dis nouvelles habitudes, je parle bien sûr des choses que vous avez envie de faire…les choses que vous savez que vous devriez faire.

Pourtant, pour des raisons obscures

 La raison pour laquelle j'aime les arbres - je veux dire que j'aime vraiment les arbres c'est parce qu'ils m'inspirent à grandir.

Les arbres ont compris, ils savent comment vivre pleinement. Je suis sérieux quand je dis "J'ai littéralement observé les arbres pour leur sagesse innée". Eh oui, je crois que nous avons tous beaucoup à apprendre d'eux.

Il existe une sorte de grandeur sur la façon dont un arbre plonge ses racines profondes, vers le bas, dans la terre. Les arbres sont si forts dans leurs bases! Les arbres plongent leurs racines dans la terre et ils se permettent de recevoir les nutriments dont ils ont besoin pour grandir. Cela sans aucune retenu.

L'Iceberg

Dans la vie nous avons des buts et des objectifs, mais souvent il nous arrive de prendre beaucoup plus de temps que nécessaire pour les atteindre, ou encore pire, nous ne les atteignons jamais.

Pourquoi?

Et oui, notre subconscient peut nous freiner ou nous empêcher d'avancer. Dans cette partie submergée de notre iceberg mentale, nous retrouvons les éléments suivant:

Nos peurs

Nos peurs peut-être connues ou non vont être notre premier frein. Elle nous empêcherons principalement de faire le premier pas ou même de continuer sur notre lancée. Et si je n'était pas capable, et si je réussissais.....

La peur peut détruire notre psychologie et nous immobiliser devant l’action. Nous avons tous connu la peur à un moment ou à un autre : la peur du rejet, de l’échec, de la réussite,

(c.-à-d.. comment vais-je gérer la pression et rester à un haut niveau ?), la peur d’être aimé ou de ne plus l’être, la peur de la solitude ou de l’inconnu. En réalité, nous ressentons tous l’une ou l’autre combinaison de ces peurs tout au long de notre vie. La peur est bien ancrée chez tout être humain – rien de ce que vous ferez maintenant ou plus tard ne la détruira. Le secret est de savoir comment maîtriser la peur et de ne plus en être victime !

Un proverbe chinois dit: Le meilleur moment pour planter un arbre c'était il y a 20 ans, le deuxième meilleur moment c'est maintenant.

Souvent nous remettons au lendemain les décisions importantes: par peur de l'erreur, du jugement des autres ou pour toutes autres raisons que nous pensons valables. Les décisions importantes de notre vie sont toujours accompagnées de risques. Il faut donc savoir aller de l’avant en dépit de la peur. Chaque fois que nous optons pour la sécurité, nous nous éloignons un peu plus de la personne que nous voulons réellement devenir. Par crainte du rejet ou de l’échec, nous mourrons seuls avec nos projets, nos rêves et notre histoire. Plus on se rapproche de la fin de sa vie, plus on regrette ce que l’on n’a pas fait, les rêves que l’on n’a pas réalisé. Le plus grand regret est d’opter pour la sécurité et de ne pas avoir fait d’erreurs. Faire des erreurs c’est apprendre.