fbpx

L'arbre trouve la force dans ses racines et les fruits de l'arbre dépendent principalement de ce qu'il est capable de puiser dans le sol.

C'est en prenant exemple sur l'arbre que nous pourrons changer quelque chose à notre santé et à notre vie. En effet, les bases de la santé dépendent beaucoup de ce que nous mangeons. La nourriture est très importante et Hippocrate (460-356 av. J.-C.) le disait déjà: Que ta nourriture soit ton premier médicament.

Mangez consciemment! Vous est-il déjà arrivé de vous remplir la panse en notant à peine ce que vous mangez? A votre prochain repas, essayé de manger à la moitié de votre vitesse habituelle. Sentez vos aliments, regardez les et prenez plaisirs à cela. Appréciez chaque instant de votre repas et du fait que vous mangez. Vous allez probablement remarquer que vous n'avez plus faim avant d'avoir fini, si c'est le cas ARRÊTEZ-VOUS de manger!!

Au minimum la moitié de votre assiette devrait être pleine d'aliments vivant, vert, alcalin, bon pour la santé, antioxydant et riche en eau. Chaque fois que vous allez commencer un repas, vérifiez que la moitié de votre assiette est pleine d'ingrédient correspondant à la liste juste au dessus.

C'est maintenant le moment de reprendre ta santé en main en commençant a appliquer ces principes simples. Si tu veux changer quelque chose dans ta vie, tu dois changer quelque chose dans ta vie!

 La raison pour laquelle j'aime les arbres - je veux dire que j'aime vraiment les arbres c'est parce qu'ils m'inspirent à grandir.

Les arbres ont compris, ils savent comment vivre pleinement. Je suis sérieux quand je dis "J'ai littéralement observé les arbres pour leur sagesse innée". Eh oui, je crois que nous avons tous beaucoup à apprendre d'eux.

Il existe une sorte de grandeur sur la façon dont un arbre plonge ses racines profondes, vers le bas, dans la terre. Les arbres sont si forts dans leurs bases! Les arbres plongent leurs racines dans la terre et ils se permettent de recevoir les nutriments dont ils ont besoin pour grandir. Cela sans aucune retenu.

Je suis sûr que vous avez déjà lu souvent cette phrase : « Vous devez d'abord vous aimer vous-même ».

Mais qu’est-ce que cela signifie? Est-ce de vous offrir un bon vin chaud quand vous avez froid ? Est-ce de vous acheter une nouvelle robe quand vous en avez envie ? Est-ce de faire ce que vous voulez quand vous le voulez ? Est-ce de s’habiller chaudement quand il gèle à l'extérieur ?

S’aimer soi-même veut dire apprendre à se traiter comme un parent aimant traiterait son enfant.

En tant qu’adulte, vous avez toujours en vous un enfant intérieur. C’est le siège de vos émotions. Au niveau émotionnel, les recherches de Carl Jung nous montrent que vous réagissez toujours comme un enfant de 3-4 ans. Vos émotions ne peuvent pas devenir « adulte ». Mais vous pouvez le devenir et apprendre à agir comme un adulte. Vous pouvez apprendre comment respecter vos émotions, comment les accepter et les gérer. Vous pouvez apprendre à vous occuper de cet Enfant Intérieur.

Tout a commencé à votre naissance, avec une minuscule graine de votre « Vous » en devenir. Malheureusement, vous avez peut-être enfoui cette graine trop profondément sous la pression de vos parents, de votre entourage et de votre environnement.

Tout était simple pourtant. Il vous suffisait de pleurer très fort - sans inhibition, ni retenue - et vous étiez nourris, changés, portés et bercés. Vous obteniez tout ce que vous vouliez.

Et puis quelque chose a changé.

Un jour quelqu'un vous a dit ...

Un enfant va voir son grand-père considéré comme le sage du village et lui demande "qu'est-ce qu'un Homme?"

Alors son grand-père l'emmène en voyage à travers ses mots, lui parle des immensités des steppes, des loups qu'on y trouve. Il lui raconte le loup noir, sombre, solitaire, hargneux et menaçant, qui hurle la nuit, se cache, se bat avec les uns et dévore les autres, terrifie, domine par la peur et tue.

Il lui raconte aussi le loup blanc, nomade, lumineux, solidaire et rieur, qui joue dans la neige, se montre au soleil, protège les siens et soutient les autres, attentif, généreux et confiant.

Puis il lui dit : "Tu vois, l'Homme a ces deux loups en lui. Chacun de nous abrite en lui un loup noir et un loup blanc qui ne cessent de s'affronter."

L'enfant réfléchit et lui demande : " et c'est lequel qui va gagner ?"

Alors, le vieil Indien Cherokee lui répond doucement : "Celui qui gagne, ...... c'est celui que tu nourris."

 

Ceux qui me connaissent, savent à quel point j’aime suivre des objectifs long terme, pour ensuite régler ma vie de tous les jours. Tout jeune j’avais des objectifs, je ne sais pas où j’ai puisé cette inspiration à l’époque, mais j’en ai retrouvé les principes dans des livres comme ceux d’Anthony Robins avec le Pouvoir illimité ou encore L’éveil de votre puissance intérieure. Je voudrais donc faire partager un peu de cette expérience.

 

Deux postulats!

  • Si tu n’as pas d’objectifs dans la vie, tu es à peu près sûr de ne pas les atteindre.
  • Si tu n’as pas d’objectifs dans la vie, ne t’inquiète pas, d’autres en ont pour toi.

Pour cela :

  1. Planifie ta vie, car les imprévus sont nombreux, alors fait en sorte qu’il y en ait le moins possible
  2. Projette toi à dans trente ans, quarante ans et écrit sur un papier ce que tu voudrais être.

Un de mes films préférés est Forrest Gump. Voici un gars qui ne savait pas qu'il n'était pas censé pouvoir réussir certaine chose pour atteindre les sommets.

Il l'a juste fait.

Il a couru à travers le pays, a joué au tennis de table au niveau des championnats du monde, sauvé ses amis d'une mort certaine dans une jungle du Vietnam et démonté son fusil en un temps record pour ne nommer que quelques-unes de ses réalisations. Il n'était pas assez « intelligent » pour savoir que les humains normaux « ne peuvent pas» réussir ces différentes choses.

Nous nous sommes tous programmés dans notre jeunesse à connaître notre direction générale dans la vie et par la-même nos limites.

Personne ne dit de nous « tu seras un avocat et gagneras 100’000 chf par année. » ou « tu seras un charpentier et gagneras 40’000 chf par année. » Grâce à une série d'expériences et principalement d'informations que nous recevons de nos parents, des médias, de nos professeurs, de notre entourage et d'autres, nous formons une image inconsciente de ce que nous devrions « être », de combien d'argent nous sommes dignes de gagner, de quelle attractivité nous sommes (et donc de quelle attractivité devrait être notre compagnon (compagne) de vie), etc… Et si à n’importe quel moment nous sommes « menacées » avec une réalisation à l'extérieur de nos frontières inconscientes dans ces secteurs, un sabotage intervient pour nous ramener dans « notre droit chemin ». Cela arrive afin que nous n’ayons pas de souffrance, pas mal et que nous ne se sentions pas la douleur d'être mal à l'aise, de se trouver dans l'inconnu, d'avoir violé notre programmation.

La réponse à une question peut varier considérablement suivant le point de vue que l'on peut avoir. Voici différentes perceptions par différents types de personne face à un verre d'eau...

Où vous situez-vous?

  •     L'optimiste dit que le verre est à moitié plein.
  •     Le pessimiste, dit que le verre est à moitié vide.
  •     Le gestionnaire de projet, dit que le verre est deux fois plus grand que ce qu'il doit être.
  •     Le réaliste dit que le verre contient la moitié de la quantité de liquide requis pour qu'il déborde.

UN MONDE MEILLEUR

Un jour, un non-voyant était assis sur les marches d'un bâtiment avec un chapeau à ses pieds et un morceau de carton portant l'inscription : «Je suis aveugle, aidez-moi, s'il vous plaît ».

Un publicitaire qui se promenait près de là s'arrêta et remarqua qu'il n'y avait que quelques centimes dans son chapeau. Il se pencha et y versa sa monnaie, puis, sans demander son avis à l'homme, prit le carton, le tourna et y écrivit une autre phrase. Le même après- midi, le publicitaire revint près de l'aveugle et vit que son chapeau était plein de monnaie et de billets.

Le non-voyant reconnut le pas de l'homme et il lui demanda si c'était lui qui avait réécrit sur son carton et ce qu'il avait noté.

Une psychologue se promenait dans la salle de cours tout en enseignant la gestion du stress à un auditoire. Quand elle souleva un verre d'eau, tout le monde se dit qu'elle utiliserait une métaphore sur le verre « à moitié vide ou moitié plein ». Au lieu de cela, avec un sourire sur son visage, elle demanda: "Combien pèse ce verre d'eau?"

Les réponses criées variaient de 150g à 350g.