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Le plus grand de nos freins au succès

Avez-vous des projets que vous n’avez pas encore commencés, ou des rêves qui sont toujours profondément enterrés. Ou peut-être n’avez-vous toujours pas écrit cette lettre qui vous permettra (peut-être) de vous réconcilier avec une personne « aimée ». 

Un des plus gros freins à notre succès est la peur !

Nous pensons à la peur comme quelque chose qui nous retient, qui nous empêche de faire quelque chose. La peur de l’avion vous empêche peut-être de voyager, la peur du vide… de faire du parapente, ou vous pensez qu’il est peut-être mieux d’éviter d’avoir peur…. mais que que passerait-il si nous pouvions voir la peur comme un outil puissant?

Qu’en serait-il si nous pouvions, si vous pouviez maitriser cet outil ? Auriez-vous une autre vie, seriez-vous enfin le maitre, enfin capable de transmuter la peur du rejet, la peur du ridicule, la peur de l’échec et bien d’autre.

La peur est généralement pour nous comme

une barrière, nous empêchant de faire des choses qui peuvent nous paraître impossible et qui pourrait être tellement libératrice. Ou, si nous poussons sur cette barrière, il peut arriver que la peur rende l’expérience difficile, embarrassante, déplaisante.

Mais en vérité, la peur est quelque chose d’utile. Il y a quelques centaines de milliers d’années, la peur était un signal, signal qui nous indiquait de fuir face au lion ou face aux autres dangers de l’époque, et c’était quelque chose de primordial à notre survie. Aujourd’hui, nous ne nous trouvons quasiment plus face à ce genre de danger physique (les lions, ou autres prédateurs, ont sûrement bien plus à craindre de nous que nous n’avons à craindre d’eux), mais les mêmes signaux continus de nous être donnés, ces signaux de peur sont inconsciemment (ou consciemment) présent, même quand nous sommes sur le chemin de nos rêves et de nos idéaux.

Aujourd’hui, ces signaux de peur ne sont plus « physiques », ils sont plus mentalisés avec l’idée principale de ne pas être à la hauteur.

Lors de mes accompagnements ou pendant les formations que je donne, j’ai pu identifier les peurs qui vous freinent le plus:

  1. Peur de l’échec
  2. Peur de ne pas être à la bonne place
  3. Peur d’être rejeté
  4. Peur de ne pas être suffisamment prêt
  5. Peur d’être considéré comme un imposteur
  6. Peur du ridicule
  7. Peur de décevoir

Vous pouvez remarquer que toutes ces peurs, peuvent être considérer comme une seule, celle de ne pas être à la hauteur, de ne pas être assez « bien ». Si nous ne sommes pas à la hauteur, nous pouvons échouer, nous pourrions être ridicule, nous pourrions être considéré comme une imposture, nous pourrions avoir besoin de bien plus de préparation, car sans cela nous ne serions pas acceptés.

Notre plus grande peur est bien donc de ne pas être à la hauteur…. Ce n’est pas un danger physique, voir mortel, tout ce passe à l’intérieur de nos pensées.

Ainsi la peur n’est pas un danger duquel nous devrions nous enfuir.

Mais, la peur est un signal utile nous indiquant que nous devons aller à l’encontre, à la rencontre de quelque chose.

Découvrons maintenant comment faire ce pas!

La liberté et le mur de la peur

A chaque fois que nous ressentons de la peur (ou que nous créons mentalement celle-ci), cela veut dire que nous sommes face à une sorte de mur…. et que de l’autre côté de ce mur, il y a une nouvelle liberté.

C’est la liberté que nous recherchons, et il est sain d’avoir ce désir de liberté. Mais nous poussons contre ce mur, contre la peur, ce qui peut nous retenir et nous empêcher d’avancer car nous avons cette réponse « normale » d’éviter le mur. En l’évitant, nous restons de côté du mur que nous connaissons, nous restons dans notre zone de confort, celle où nous savons comment sont les choses, savons ce que nous faisions, où les choses sont faciles et surtout habituels. L’endroit où nous faisons peut-être l’expérience de douleur que nous transformons en souffrance avec notre immobilité.

Nous sommes emprisonnés par ces murs (et oui maintenant il y en a plusieurs) par ces peurs et ceci tant que nous cherchons à les éviter.

Que ce passerait-il si nous poussions et traverserions ces murs? Nous aurions (vous auriez) la liberté: la liberté de se connecter aux autres en étant totalement nous-même, en montrant nos vulnérabilités, de nous mettre en avant pour enfin faire les choses qui ont du sens pour nous, de faire les choses que nous voulons vraiment au fond de nous: comme d’écrire un livre, d’avoir notre chaine youtube, d’explorer le monde, de créer une charité, d’aimer avec un cœur grand ouvert, de se faire de nombreux amis, d’ouvrir notre entreprise.

La liberté est de l’autre côté du mur. Donc quand nous ressentons de la peur, c’est en fait un signal que nous devons aller de l’avant et la dépasser.

Oui c’est difficile, mais de l’éviter ne fonctionne pas. Cela crée simplement plus de difficulté et de souffrance. Nous devons faire le cheminement intérieur et voir, affronter la crise qui est signalé par cette peur, nous devons aller au fond de nous-même et traiter ce qui était profondément enterré. Cela veut dire que nous devons examiner les raisons qui nous faisaient croire que nous n’étions pas à la hauteur, commençons à apprendre à nous aimer (sans conditions), apprenons à nous faire confiance même dans les situations dans lesquels nous sommes rejetées, ou celles où nous avons l’impression d’être en échec.

Et nous pouvons passer courageusement à l’action lorsque nous sommes en présence de peurs.

Agir face à la peur

Ce n’est pas parce que nous ressentons de la peur que nous devons nous mettre à courir. En fait, nous pouvons nous entrainer à agir en conscience même en ayant cette sensation de peur en nous.

L’habitude à prendre est de prendre note de la peur et de nous rappeler de nos réactions passées face à celle-ci. Resté avec la peur et prenez note de la sensation physique qu’elle procure. Prenez conscience que ce n’est pas si horrible, que vous pouvez être quand même « bien » tout en ayant cette sensation physique de peur. Ce ne sont que des hormones dans votre corps, simplement une énergie d’excitation. 

En étant présent dans ce moment de peur, nous pouvons alors choisir de FAIRE: écrire notre livre, faire un téléphone, d’aller à un événement social, monter sur scène, chanter une chanson, commencer notre entreprise. Nous pouvons nous immerger complètement dans le moment présent, ressentir la peur en nous et en même temps FAIRE ce qu’il faut.

La peur est une projection d’une future douleur, qui n’existe pas encore (et peut-être jamais). En en prenant note, nous pouvons revenir dans le moment présent: voir ce qui est réellement en face de nous. Nous pouvons être reconnaissant de ce que nous sommes en train de vivre. Nous pouvons en sourire et choisir de commencer à faire le pas nécessaire, de FAIRE quelque chose.

Comme chaque chose cela nécessite une répétition avant de maitriser totalement le processus. Faites-le maintenant. Répétez cela chaque jour, allez en direction de vos peurs, à plusieurs reprises. Allez contre vos peurs. Soyez courageux et pousser à travers le mur de la peur pour trouver la liberté de vos possibles. 

Pour vous aider dans le chemin au delà de la peur, je vous invite à suivre mon prochain webinaire en vous inscrivant ICI:

 

Merci de lire mes articles. J’écris régulièrement au sujet des techniques d’apprentissages, des compétences latérales, de la confiance en soi et d’autres sujets qui m’intéressent et surtout qui j’espère vous intéressent. Si vous avez des questions sur l'un de ces sujets, je vous invite à les poser en laissant un commentaire.

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